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La raison parle aux stupides
Eljadiri Lamia le 17/01/2008, 20 08 33 (UTC) | | | Rien ne nous rond un sourire
Qu'un amour qui vient d'apparaître,
Qu'un bébé qui vient de naître
Qu'un malade qui vient de se guérir !
Personne entre nous n est en détente
Tous on se cache dans des niches latentes
On a tous peur de commettre une pêche
Et que la police partout nous recherche !
Pourquoi on fuit la réalité?
Pourquoi on couvre les menteries par la beauté ?
Pourquoi on rond toute chose à la fatalité ?
Pourquoi on châtie par fouetter ?
Le dictateur chez nous est un démocrate
Le terroriste entre nos mains on le serre
Et le pauvre par nos pattes on le jette
Et on lui brûle par les armes de la guerre !
On doit s habituer à dire non
Et du mal allons y parlons !
Mettons la raison dans l esprit de ces cadavres froids
Et montrons à eux que nous ne sommes pas des faciles proies !
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Eve
Lamia Eljadiri le 17/01/2008, 20 08 29 (UTC) | | | J contemple par mon seul œil !
J ne reçois que le deuil
Que j vis sur les cotes de ce seuil,
Comme l oiseau! prisonnier dans la cage,
Et qui combat contre l esclavage
Par des mélodies qui expriment sa rage.
Mais j reste toujours à l intrigue
Entre la sueur et la fatigue.
Tous mes efforts ne sont que des prodigues
Eclipsées derrière mes fantaisies et mes rêves,
Qu ils les engloutissent par des horribles trêves
Et disent Cela est la destinée de toute Eve.
Pourquoi ils ne comprennent pas notre message ?
C est que : la vie n est qu’un passage
Demain se tournera la page
Et nous serons tous égales
Les femelles pareilles que les males !
Devant Dieu, dans la même salle.
Alors, pourquoi cette ségrégation
Qui tue la paix et l’animation ?
Essayant de vivre en affection
Et laisser à la femme sa chance
Pour oublier enfin votre nonchalance,
Mettons nous donc dans une balance !
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sur la cote de la plage
Lamia Eljadiri le 15/01/2008, 21 09 58 (UTC) | | |
Sur la cote de la plage
J ai été un jour dans un voyage
Pris sur mon petit dos mes lourds bagages
Et dans mon esprit l analyse de certains passages
Et dans mes mains mes ouvrages
Et dans mon cœur la volante, le courage
De se délibérer de la prison, de l esclavage
Tout –à-coup j ai levé au ciel mon rond visage
Et j ai vu de noirs nuages
Et de fins traits beiges
Ainsi, j ai décidé de renoncer à mon projet
Et de ne pas continuer mon objet
Car, peut-être, j étais en danger
Mais, après un moment tout a changé
En face de mes yeux j ai vu un village
Je l ai pénétrer avec courage
J y ai vu le sympa et le sauvage
Le dèsére et la plage
J y ai vu des hommes qui souffrent du chômage
Et qui ne prononcent de leurs bouches que le mot
« dommage »
Et des chiens en rage et des oiseaux dans les cages
Soudain, j y ai rencontré un personnage
Peut-être, lui aussi etait en voyage
Il m a embrassé par un grand soulage
Il m a demander de commencer une nouvelle page
En continuant tous les deux le voyage
Pour passer tous les barrages
Sur la cote de la plage
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